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Bibliothèque municipale Robertine-Barry
Heures d’ouverture
Pendant l’année scolaire, les heures d’ouverture sont le mercredi, de 19 h à 20 h et le jeudi, de 13 h à 15 h. Durant la saison estivale, la bibliothèque est seulement ouverte le mercredi, de 19 h à 20 h.

Dates de fermeture annuelle de la bibliothèque
  • Fermée lors de tous les congés fériés;
  • Fermée durant la semaine de relâche scolaire (fermeture le jeudi 2 et 9 mars 2023, maintien de l’ouverture le mercredi soir);
  • Fermée durant les deux semaines du congé des Fêtes.

Veuillez noter que dorénavant, la bibliothèque municipale ne facturera plus de frais pour les livres en retard. Vous devrez toutefois rapporter vos livres pour effectuer un nouvel emprunt. De plus, si vous perdez un livre, il vous sera facturé afin que la bibliothèque puisse en racheter un autre.


logo biblio
La bibliothèque municipale Robertine-Barry est affiliée au Réseau BIBLIO du Québec et au réseau du Centre régional de services aux bibliothèques publiques du Bas-Saint-Laurent (CRSBP). Elle offre une panoplie de services dont :

  • Gamme complète et diversifiée de volumes;
  • Accès à des expositions itinérantes;
  • Accès à Internet sans fil;
  • Une naissance un livre;
  • Activités spéciales.
Rendez-vous sur place pour obtenir votre carte de bibliothèque et faire la connaissance de notre bénévole Hibouquine!

Responsables : Anne-Marie Pelletier et Karine Martel
Téléphone : 418 898-2812, poste 309

photos biblio

Qui est Robertine Barry?
Robertine Barry | Portrait

Première femme journaliste canadienne-française, Robertine Barry alias Françoise, est née à L’Isle-Verte en 1863. Elle a été la première femme embauchée dans un quotidien, à La Patrie, en 1891. Cet emploi, qu’elle a occupé pendant neuf ans, lui a permis d’écrire des chroniques sur toutes sortes de sujets : le droit de vote des femmes, la justice sociale, la création de refuges pour les femmes victimes de violence ainsi que pour les personnes âgées, etc. Elle revendique ce qu’aucune Canadienne-française n’a réclamé : la possibilité pour les femmes d’étudier à l’université et d’exercer les mêmes professions que les hommes. En 1902, elle fonde le Journal de Françoise sans aucune autre source de financement que ses propres économies. Des gens de lettres, des journalistes, des notaires, des juges, des médecins et des politiciens y collaborent.